N’Guessan Lataille à Ouattara : “Le fleuve N’Zi a débordé de son lit à cause des mauvaises langues contre vous”

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Le samedi 28 septembre 2019, prenant la parole au nom des populations de la région au meeting de clôture de la visite d’État, au stade Samba Ambroise de Dimbokro, le Secrétaire d’État Koffi N’Guessan Lataille a dit au Président de la République Alassane Ouattara que le N’Zi adhère à sa vison politique.

«Après avoir parcouru Kouassi Kouassikro, Bocanda et Dimbokro, vous avez constaté que vos frères et vous êtes unis par l’affection fraternelle. C’est pourquoi, ils me chargent de vous dire qu’ils adhèrent à votre vision politique. Ils s’engagent à vos côtés aujourd’hui, demain et pour toujours pour mener à bien votre combat pour le bonheur de la Côte d’Ivoire», a assuré celui qui est aussi président du Conseil régional du N’Zi.

Koffi N’Guessan Lataille a dit la fierté que ressent toute la région du N’Zi d’avoir un fils de la trempe du Président Alassane Ouattara. Un fils, selon ses termes, qui a un sens élevé de la justice, de l’équité et de la responsabilité envers tous les ivoiriens dans l’accomplissement de sa mission de Chef de l’État. Un fils, désormais, de renommée internationale . «Dimbokro est fière d’avoir un fils comme vous. Un fils dont la renommée a dépassé les frontières de sa terre de naissance, de son pays, de l’Afrique pour atteindre une dimension mondiale», a-t-il laissé entendre.

«Le fleuve N’Zi a débordé de son lit, à cause des mauvaises langues contre vous»

Le président du Conseil régional du N’Zi s’en est par ailleurs, pris aux détracteurs du Président de la République qui, selon lui, raconteraient que les populations ne sont pas sorties nombreux pour saluer son arrivée dans la région le mercredi 25 septembre 2019, N’Guessan Lataille a fait savoir que le fleuve N’Zi (dont la région porte le nom) est sorti de son lit pour, selon lui, s’insurger contre ces affirmations. « Vous remarquez aujourd’hui que, provoqué par certaines mauvaises langues qui disent que vous n’avez pas été accueillis le mercredi par une grande foule, le fleuve N’Zi qu’on ne provoque pas, s’est fâché et a débordé son lit», a-t-il fait remarquer.

J-H K

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