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Darlène Kassem, première dauphine de Miss Côte d’Ivoire 2017, vit aujourd’hui en France, où elle exerce en tant qu’experte en écologie et développement durable. Elle a confié avoir regardé avec tendresse la finale de Miss CI France, tenue à Paris le 4 mai 2025. Avec du recul, elle s’est remémoré les coulisses, les attentes, les discours, les regards et l’ambiance du public.
À l’issue de son mandat, elle explique avoir ressenti le besoin de silence, de sens et de concret. Aujourd’hui, elle s’investit dans un travail à l’intersection de l’environnement, de la justice sociale et de l’entrepreneuriat
. « J’accompagne des structures dans leur responsabilité sociale et environnementale, tout en développant des projets utiles aux femmes et aux jeunes, dont j’aurai bientôt l’occasion de parler. J’ai aussi fondé une association environnementale en Côte d’Ivoire, qui contribue au reboisement de notre pays et à la sensibilisation des jeunes. Depuis 2016, nous avons réhabilité 4 écoles publiques, mené des opérations nettoyage des plages de Bassam, ainsi que d’autres projets », a-t-elle déclaré .
S’exprimant sur l’évolution du concours Miss Côte d’Ivoire, Darlène Kassem, Première dauphine 2017, a salué la montée en puissance du niveau général, en particulier dans la manière dont les candidates s’expriment et défendent leurs causes.
Elle a exprimé le souhait que cette dynamique soit soutenue sur le long terme, afin que les reines de beauté deviennent de véritables actrices de changement dans la société.
Pour elle, le concours peut constituer un tremplin, mais ne doit en aucun cas se transformer en cage dorée.
Mamadou Ouattara avec Sercom